"Cavalerie Légère" 90mm

Hello,

Je suis sur le point de finir cette figurine de Tim Richards et rééditée par Metal Modeles/Atelier Maket en résine.

Je n'avais pas trop d'idée sur l'environnement pour accompagner la figurine et je pensais faire ça en extérieur quand ma femme m'a suggéré cette idée de la faire au contraire en intérieur (ce qui a beaucoup plus de sens) avec un parquet.
Du coup j'ai fait un parquet ainsi qu'un tapis pour donner un côté confortable et chaleureux qu'il aurait manqué avec un parquet seul.

J'imagine la scène comme étant un rdv entre une maitresse et son officier d'amant ou quelque chose de ce goût là.
Si je donne un titre, je pensais intituler la pièce "La Charge de la brigade légère". Je trouve ça cohérent par rapport au sujet et sa posture (et puis j'aime beaucoup le film éponyme).

J'ai réalisé un premier parquet. Je me suis basé sur un motif trouvé sur Internet et que je trouvais suffisamment complexe et harmonieux pour ce que je voulais faire.
Je me suis rendu compte hier, qu'apparemment il s'agit des motifs du parquet du château de Versailles. Je crois comprendre par ailleurs qu'il a eu un certain succès aussi je ne sais pas s'il est spécifique au château ou s'il s'agissait d'un modèle "courant".

Toujours est-il que j'ai passé pas mal d'heures à réaliser un premier parquet que j'ai du décaper entièrement lorsque je me suis rendu compte que la façon dont le motif recouvrait le socle ne conviendrait pas du tout. En effet les tangentes des lattes juste sur le bord du socle étaient inesthétiques.
J'ai été paresseux au départ en me refusant à faire un croquis du motif au sol, j'ai été puni :)

Du coup en me servant de ce premier résultat j'ai pu faire un schéma précis de ce que je voulais sur Illustrator. J'ai également commencé mon tapis en partant d'une base en plasticard que j'ai découpée à la forme du socle puis sur laquelle j'ai mis du magic sculpt dans lequel j'ai inséré des fils de cuivres torsadés. J'ai créé une texture sur le tapis que je voulais bien épais.

Le résultat final pour le socle me plait pas trop mal si ce n'est que j'hésite à peindre le blasa utilisé pour faire le parquet. Avec des jus à l'huile je me dis que ça pourrait être mieux avec plus de nuances ou de détails.

Si quelqu'un dispose d'un tuto pour comment peindre du bois sur du balsa je suis preneur :)

Les motifs du tapis sont ceux d'un tapis chez nous qui me convenait pas trop mal après avoir regardé différents motifs de tapis sur Internet.

Si je repeins par dessus le balsa ce serait dans l'idée d'obtenir quelque chose qui soit plus proche de ce résultat (pas forcément jaune pour la teinte, mais avec des motifs plus apparents).

c'est choooooo la    

sinon pour ton parquet je connais ce balsa c'est de l'acajou on  s'en sert principalement en modélisme naval

vu que le parquet que tu veut  faire est généralement en chêne   faut le peindre ,un coup d'apprêt blanc très léger de façon a garder les veines du bois  ensuite et bien ..."zy va "    top ton socle !

tattoo a écrit:

c'est choooooo la    

sinon pour ton parquet je connais ce balsa c'est de l'acajou on  s'en sert principalement en modélisme naval

vu que le parquet que tu veut  faire est généralement en chêne   faut le peindre ,un coup d'apprêt blanc très léger de façon a garder les veines du bois  ensuite et bien ..."zy va "    top ton socle !

Merci beaucoup Tatoo !
Pour le balsa, tu as bien reconnu en effet ! :)

Je ne suis pas attaché plus que ça à la couleur du parquet d'origine, c'est plus les motifs et les variations de valeurs qui m'intéressaient. Je pensais utiliser de l'huile diluée directement sur le bois. (J'avais fait un test hier sur un morceau et ça me paraissait pas mal).
Mais je vais peut-être tester ce que tu dis sur un petit bout de balsa.

J'aime beaucoup ce que tu fais et merci pour le partage du "pas à pas" très bien réalisé et très instructif !!

Salut Grégoire,

Très beau début pour ce socle qui me plait beaucoup   !

Salut !
Très beau décor. 
Bonne continuation !

Voilà un très beau début je constate que les ébats amoureux sont rudes, le sabre a pris cher

Merci les amis ! :)

@Bruno Je ne suis pas trop rentré dans le détail en fait. J'aurais pu, mais je crains toujours d'enquiquiner le monde avec des gros pavés de texte :)

@Charles
Haha En fait, la figurine du haut n'est pas la mienne. Je voulais juste une image de la figurine non peinte et c'est la seule que j'ai trouvée sur Internet vu que j'avais oublié de prendre la mienne non peinte en photo.
Ceci dit en parlant de sabre tordu, le sabre en résine de mon exemplaire était légèrement de traviole. J'ai pu le remettre en position avec de l'eau à 70 degrés (pas d'eau bouillante beaucoup trop violente) et un bol d'eau glacée. On trempe la partie à remettre dans le bon axe dans l'eau chaude et dès qu'on est content du résultat on trempe immédiatement dans l'eau glacée. De cette manière la résine ne reprend pas sa position tordue (ce qui à tendance à arriver si on se contente de la détordre à la chaleur sans passer par l'eau froide après).

GregoireM a écrit:

Ceci dit en parlant de sabre tordu, le sabre en résine de mon exemplaire était légèrement de traviole. J'ai pu le remettre en position avec de l'eau à 70 degrés (pas d'eau bouillante beaucoup trop violente) et un bol d'eau glacée. On trempe la partie à remettre dans le bon axe dans l'eau chaude et dès qu'on est content du résultat on trempe immédiatement dans l'eau glacée. De cette manière la résine ne reprend pas sa position tordue (ce qui à tendance à arriver si on se contente de la détordre à la chaleur sans passer par l'eau froide après).

Tiens je ne connaissais pas cette astuce de l'eau froide. Effectivement, j'ai déjà essayé de redresser de la résine à l'eau chaude, mais elle avait toujours tendance à revenir à sa forme initiale ensuite. Je note le conseil, merci   !

Logan a écrit:

Tiens je ne connaissais pas cette astuce de l'eau froide. Effectivement, j'ai déjà essayé de redresser de la résine à l'eau chaude, mais elle avait toujours tendance à revenir à sa forme initiale ensuite. Je note le conseil, merci   !

De rien
C'est plus que de l'eau froide, c'est glacial.
Je mets des glaçons dans un bol puis après je comble avec de l'eau. Du coup ça te permet de vraiment faire un choc de température quand tu plonges dans le bol de glaçons.

GregoireM a écrit:

Logan a écrit:

Tiens je ne connaissais pas cette astuce de l'eau froide. Effectivement, j'ai déjà essayé de redresser de la résine à l'eau chaude, mais elle avait toujours tendance à revenir à sa forme initiale ensuite. Je note le conseil, merci   !

De rien
C'est plus que de l'eau froide, c'est glacial.
Je mets des glaçons dans un bol puis après je comble avec de l'eau. Du coup ça te permet de vraiment faire un choc de température quand tu plonges dans le bol de glaçons.

Ok, super   !... Merci !...

Cool ! 

Et très bonne idée ce choc thermique pour bien fixer le redressement d'une fine pièce en résine.

L'idée graphique du fragment de tapis et du fragment de parquet est très bonne aussi. Mais graphiquement parlant c'est toujours plus harmonieux et plus intéressant de placer un élément comme ton tapis plus franchement en diagonale. Ici en plus, l'orientation du tapis hésite trop entre la verticale et la diagonale aussi. Mais bon... c'est joli quand même !

Comme toi, je modifie les teintes de bois avec des glacis à l'huile semi-transparents. Je ne connais pas de meilleur moyen.

Ethno Dan a écrit:

Cool ! 

Et très bonne idée ce choc thermique pour bien fixer le redressement d'une fine pièce en résine.

L'idée graphique du fragment de tapis et du fragment de parquet est très bonne aussi. Mais graphiquement parlant c'est toujours plus harmonieux et plus intéressant de placer un élément comme ton tapis plus franchement en diagonale. Ici en plus, l'orientation du tapis hésite trop entre la verticale et la diagonale aussi. Mais bon... c'est joli quand même !

Comme toi, je modifie les teintes de bois avec des glacis à l'huile semi-transparents. Je ne connais pas de meilleur moyen.

Merci Dan! :)

Alors le positionnement du tapis est le résultat de beaucoup d'essais et son positionnement très réfléchi. Pas parallèle au parquet car ennuyeux mais pas non plus franchement en diagonale. J'ai tenu compte de la figurine aussi, car le bout de tapis sur le parquet nu fait un rappel de la pelisse sur le corps nu de la demoiselle du côté opposé. En termes de surface occupée au sol, je ne voulais pas que le tapis soit trop proche de la moitié et reste bien à un tiers de la surface tout en laissant visible la partie du parquet apparente que je trouvais le plus intéressante.
Et pour finir concernant le réalisme, je ne voulais pas que ce soit trop en diagonale car logiquement dans un appartement les tapis sont parallèles au parquet. Etant donné le "chahut" en cours, à savoir une demoiselle que j'imagine déguisée avec l'uniforme de son amant on peut supposer que le tapis n'est plus tout à fait parallèle néanmoins ;-)

GregoireM a écrit:

Alors le positionnement du tapis est le résultat de beaucoup d'essais et son positionnement très réfléchi. Pas parallèle au parquet car ennuyeux mais pas non plus franchement en diagonale. J'ai tenu compte de la figurine aussi, car le bout de tapis sur le parquet nu fait un rappel de la pelisse sur le corps nu de la demoiselle du côté opposé. En termes de surface occupée au sol, je ne voulais pas que le tapis soit trop proche de la moitié et reste bien à un tiers de la surface tout en laissant visible la partie du parquet apparente que je trouvais le plus intéressante.
Et pour finir concernant le réalisme, je ne voulais pas que ce soit trop en diagonale car logiquement dans un appartement les tapis sont parallèles au parquet. Etant donné le "chahut" en cours, à savoir une demoiselle que j'imagine déguisée avec l'uniforme de son amant on peut supposer que le tapis n'est plus tout à fait parallèle néanmoins ;-)

Je comprends ton raisonnement. Et c'est vrai que ta diagonale est perceptible. Mais optiquement parlant, elle est faussée par les contours du socle qui sont courbes. Ce sont sûrement aussi ces contours courbes, aux bords arrondis, qui t'ont donné du fil à retordre. Avec des contours bien droits, ce genre de mise en scène assez graphique est toujours plus évident à mettre en place.

Je suis d'accord avec toi, les courbes du socle ont tendance à fausser le jugement.

On verra lors de l'assemblage final ce que ça donne :)
Je suis en train de peindre la lame du sabre et ça prend du temps car j'observe 48h se séchage minimum entre deux couches d'enamel. Hors il y a 2 sous couches noir brillant + 1 ou 2 couches d'aluminium à polir.

Hello !
Après de longs mois d’absence (je n’avais plus d’endroit pour pratiquer), je me suis enfin remis à la figurine il y a de ça 1 mois.
Ma femme a eu la gentillesse d’accepter et de m’aider à mettre en place ce petit coin atelier.



J’en reviens donc à ma hussarde !
J’ai eu des gros soucis avec la peinture, notamment les dégradés sur la chair. Mais comme j’étais très content du visage et que je l’avais déjà décapé une première fois alors que j’en étais déjà très satisfait, j’ai eu l’idée de cette burka dernier cri pour pouvoir décaper à l’alcool isopropylique ce que je voulais tout en conservant au mieux la peinture de la tête  :)
La coiffe est réalisée à partir d'un doigt de gant coupé.

Reculant un peu l’échéance de la fin j’ai eu l’idée de fabriquer une sabretache avec son harnachement. Au début je voulais la fixer sur la hussarde mais comme la peinture du corps était déjà réalisée cela me semblait compliqué de faire des manipulations de présentation sans abîmer la peinture.
Du coup j’ai eu l’idée de mettre tout ça à terre à ses pieds pour accentuer l’idée de l’effeuillage. Tel que je le vois, il s’agit de la maitresse d’un cavalier de la grande armée qui a revêtu ses habits (on passera sur le fait que tout est ajusté à sa taille).
Voici la doc sur laquelle je me suis basé.

J’ai commencé par la sabretache. J’ai trouvé cette technique en réfléchissant à la manière de réaliser quelque chose de plus plat et droit possible : Se servir d’une feuille souple de Plasticard très fine (pratiquement du papier tellement c’est fin et souple mais tout en conservant une relative rigidité).
L’énorme avantage c’est que cela permet d’avoir un plan de travail pour étaler et réaliser son objet. Par ailleurs il est possible de dessiner sur le Plasticard pour suivre un gabarit. Et enfin, j’ai découvert un peu par hasard, qu’il était extrêmement facile de détacher la feuille avec le gabarit de sa réalisation une fois le Magic-sculpt séché ! ça c’était vraiment une découverte inattendue qui m’a fait très plaisir. (désolé j'ai oublié de prendre des photos)


J’ai réalisé une première sabretache qui était je crois à la bonne taille, mais sur les conseils de ma femme j’en ai réalisé une seconde qui s’est avérée trop petite. Du coup j’en ai réalisé une troisième intermédiaire mais qui reste sans doute encore légèrement trop petite. Difficile de se rendre compte de la bonne échelle dans la documentation car j’ai pu constater une certaine variance d’un modèle à l’autre. Tantôt des sabretaches qui me semblaient vraiment grandes et d’autres de tailles plus mesurées.


J’ai limé une partie du dos pour y insérer 3 anneaux réalisés avec du fil de cuivre 0,3 et des attaches découpées dans des feuilles d’étain (ou équivalent). Puis j’ai comblé la différence d’épaisseur au Magic. J’ai poncé pour égaliser ensuite puis me suis aventuré dans les reliefs du devant. J’ai quelques regrets concernant le modelage et il n’est pas exclu que je lime à peu près tout pour ne conserver que l’aigle et refaire le liseré (en laissant les motifs autour de l’aigle pour la peinture plutôt qu’en volume).

J’ai décidé ensuite de réaliser un fourreau.
J’ai voulu découper un gabarit dans le Plasticard comme pour la sabretache mais je me suis rendu compte que ce serait très mal pratique de conserver ce gabarit entre les doigts tout en appliquant le Magic. Du coup j’ai dessiné le gabarit sur la feuille, puis j’ai appliqué le Magic directement. J’ai essayé de conserver quelque chose de régulier et lisse, mais j’ai pu poncer après avant de décoller cette moitié de fourreau de la feuille. Je dis moitié car l’idée était d’insérer les deux boucles laitonnées au centre de l’épaisseur du fourreau.

J’ai essayé pas mal de choses pour ces anneaux laitonnés avant de trouver une manière qui pouvait marcher en créant une boucle puis en torsadant le fil sur lui-même (ceux qu'on voit en haut à gauche de la photo). Ça m’a permis d’obtenir deux boucles avec une attache pour les coller sur le demi fourreau.
Puis on comble et on ponce. Le ponçage tout au long de la fabrication a été assez casse-pieds car les petits anneaux en laiton sont faits en fil de cuivre 0,2 donc deux ou trois coups de limes mal placées suffiraient à les briser.






J'en ai profité pour faire une présentation avec la figurine et si la longueur et la forme entre l'épée et son étui correspondaient, la largeur du fourreau était un peu étroite par endroit. J'ai donc par la suite remis un peu de Magic pour épaissir la largeur du fourreau.

Je me suis servi de ceci pour la documentation (en particulier celui du bas). Je n’ai pas eu la rigueur et la précision nécessaires pour refaire exactement les motifs mais je trouvais ceux que j'avais réalisés intéressants même si différents donc je les ai gardés.
 

On en vient à la partie du projet (projet harnachement-sabretache-fourreau j’entends, pas le projet global) sur laquelle j’ai eu énormément de mal. Je voulais réaliser des vraies boucles dans lesquelles faire coulisser les lanières découpées dans la feuille d’étain. La raison était double, la première c’est que ça fait toujours plus vrai lorsque la reproduction à échelle réduite est conforme à celle grandeur nature et la deuxième c’est que j’ai fait une première tentative de sculpture directement sur la lanière et que ça marchait très mal car le bout de lanière se barrait dans tous les sens et que je n’arrivais pas à ce que je voulais.
Bref j’ai essayé de plein de façons (au moins 5 ou 6 tentatives différentes) pour réaliser ces boucles et à la fin j’ai trouvé cette technique, relativement laborieuse mais qui a marché.
Je ne sais pas si j’essaierai d’affiner cette technique la prochaine fois (en faisant plus attention à obtenir une largeur de boucle au plus juste) ou si au contraire je ne réaliserai pas des boucles directement sur la Plasticard, car je pense que cela permet d’obtenir un travail plus fin et précis même si l’on a pas une boucle fonctionnelle à la fin mais une boucle à coller sur la lanière.

Bref voici l’étape 1 où les boucles en fil de cuivre 0,2 sont collées sur une lanière. 






Puis j’ajoute du Magic sur le côté où la jonction des deux extrémités du fil se fait. C’est également à cet endroit que se trouve la colle. Cela permet de masquer tout ça mais également de renforcer toute cette partie de manière à avoir de l’autre côté une boucle bien propre et solide.

Je découpe enfin chaque petite boucle individuellement avant de les insérer sur mes lanières définitives

Si vous avez des suggestions ou des techniques précédemment utilisées pour faire différemment je suis preneur, je trouve toujours intéressant de voir d'autres solutions imaginées par d'autres parfois diablement plus efficaces que ce à quoi l'on avait soi-même pensé.
Pour ces boucles j'ai bien conscience d'avoir sans doute utilisé une méthode particulièrement laborieuse ^^

J’en arrive à la partie où je dois réaliser le ceinturon. Sauf que je ne comprends pas du tout ce système avec ces boutons et que je n’ai pas pu trouver de doc pour comprendre la façon dont les lanières sont fixées au ceinturon. Je pourrais réaliser quelque chose d’approchant, mais sans bien comprendre le système je vais peut-être faire des erreurs qui rendent l’attache physiquement impossible.

Quelqu’un aurait de la doc qui montrerait comment ça marche ou saurait m'expliquer ? :)
Edit : En recoupant diverses documentations trouvées sur le net, une photo par-ci une photo par là, je pense avoir compris  

C'est un chouette atelier que tu a la ! pour moi c'est du bon boulot le fil de cuivre j'en utilise souvent maintenant faut voir ca avec les spécialistes les sabretaches c'est pas vraiment mon truc !

Beau travail !

Bonsoir,

Pour le ceinturon de hussard, la réponse à ce que tu recherches est surement dans l'ouvrage Equipements Militaires de 1600 à 1870 par M. Pétard tome IV ou V. Si cela peu attendre le milieu de la semaine, je ne suis pas chez moi, je te fais un scan de la page concernée.

Cordialement,
Jean-Louis

Merci Tatoo ! Merci Sébastien !  
C'est vraiment super gentil Jean-Louis !  
ça m'intéresserait beaucoup de voir ça de plus près ! 

J'ai pu trouver des photos de différents ceinturons sur Internet et en faisant des recoupements j'ai pu comprendre comment c'était fichu, mais j'aimerais bien en avoir le cœur net.

Chouette de te retrouver

Belle installation qui se prête bien à notre passion.

Excellent travail, j'adore, une belle pièce en devenir... à suivre.

Belle dextérité, à cette échelle c'est impressionnant !! Je m'installe pour suivre ton projet jusqu'au bout !!

Merci les amis, ça fait plaisir 

Un travail tout en finesse et délicatesse…
. Excellent boulot !!!!

Beaucoup de travail pour une réalisation parfaite.
Impressionnant

Bonsoir,
Voici le dessin au trait de M. Petard du ceinturon à la hongroise d'un officier de Chasseur à cheval de la garde.


JL

Merci Alain, merci François !  :)

Merci infiniment Jean-Louis, c'est vraiment très gentil de ta part et ça vient confirmer ce que j'avais compris avec mes recherches ! Génial 

Sacré boulot sur cette sabretache  , bravo   !

Merci Christian ! :)

Petite Maj

Les 5 lanières :


Ceinturon envers


Ceinturon endroit (les parties où le fil de cuivre est torsadé accueilleront les attaches en laitons).

Ceinturon une fois les ébauches des attaches en laitons fixées.




Ci dessous une attache réalisée en fil de cuivre et qui permet de faire passer les parties en cuir de la ceinture et d'accueillir les "boutons". La forme finale est un carré, (ou plutôt un trapèze vu que la base du bas est élargie) mais pour le torsader proprement c'est beaucoup plus simple de partir d'une boucle et de la déformer en trapèze après que de partir directement d'un trapèze que l'on torsade car il est beaucoup plus dur de ne pas l'abîmer dans le processus.

La tête de Lion qui va orner les 5 attaches de laiton.

Je remarque qu'à cette échelle le travail de sculpture (en soustrayant de la matière ou en faisant des "trous") est une horreur (les outils sont trop gros et lorsque le mélange de Magic est trop frais le moindre coup mal placé ou trop vif pour créer une empreinte est une catastrophe et il faut tout refaire).

à l'inverse le modelage (en ajoutant de la matière donc) est beaucoup plus facile et permet une précision nettement meilleure.

Sauf si j'essaie d'en refaire une c'est à partir de ce modèle que je vais tâcher de faire un moule :)

Le relief est sans doute plus prononcé et moins plat que sur un vrai ceinturon (de la même manière que les espacements de ma boucle/trapèze sont sans doute plus larges que sur un vrai ceinturon, mais il m'a fallu trouver des compromis pour travailler à cette échelle

Tes qualités de sculpteur sont vraiment impressionnantes   !

Chapeau quel boulot !