guerre new zealand 1865

Bonsoir,
je me lance à nouveau dans une figurine entière (environ 75mm) en espérant la finir celle là
pour la doc je pense être un peu juste si quelqu'un peu me renseigner un peu plus
Merci d'avance

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

a oui petites photos moches du début quand même
comme vous pourrez le remarquer pour l'instant même l'anatomie n'est pas finalisée

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

pour la doc, désolé, je ne serai pas d'une grande aide :pa bo:

tu as super bien démarré, il n'y a à mon avis aucunes raisons valables pour que tu ne finisses pas

Bonjour,
Je ne dispose pas de plus d’illustrations couleurs sur les tenues en question, ni sur le nom de ces unités. Mais, les dates se situent entre 1866 et 1870, et pas en 1820.
D’après ma doc, les personnages représentés sur l’illustration sont des constables ( dont un officier) en tenue de ‘’bush’’ lors de la deuxième phase de la répression des révoltes maori de 1865-1866.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image][img][/img]

Sous-Inspecteur Frederick Swindley, qui fit partie du corps des guides.

Au début de la campagne, les troupes locales britanniques étaient vêtues de pantalons, particulièrement pas adaptés au climat ni au milieu neo zélandais. Les constables prirent ensuite l’habitude de se vêtir de simples chemises ou vestes légères et adoptèrent en place du pantalon un ‘’shawl’’ maori drapé autour de la taille. Ce shawl était souvent à tartan. Ils transportaient un équipement particulièrement restreint , enfermé dans une housse de forte toile portée comme un sac à dos. Par contre, ils conservèrent souvent leurs coiffures règlementaires quoique le célèbre chapeau de feutre larges bords, le slouch hat ( traditionnel des armées australiennes et néo zélandaises) soit très apprécié.


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image][img][/img]

Constable britannique et un aide maori de la tribu Awara, pendant la campagne de 1869.


La révolte des maoris fut menée par deux hommes.
le chef Titokowaru ( 1823- 1888) ( donc la date de 1820 ne peut pas s’appliquer ), dans la région de Taranaki entre 1865 et 1866, puis de 1868 à 69. Mais des troubles contre les colons continuèrent jusqu’en 1876.
Le deuxième fut Te Kooti, un chef maori décédé en 1893. Sa date de naissance est inconnue. Il est notamment connu pour son implication dans les guerres maories et pour être l'instigateur du massacre de la baie de la Pauvreté le 10 novembre 1868.

J'espère t'avoir un peu aidé tout de même.

C'est deja un super depart ! Hate de voir la suite ! Et j'espere que tu vas la finir cette piece !

j ais cela !


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

planches issue de différents osprey

ps : comme Philippe erreur de date pour moi aussi

Oui, c'est vrai, on navigue entre 1865 et 1876. 1820 n'a rien à voire ici, et peut être le titre du post sera rectifié bientôt.
Mais, .... la doc de Laurent est évidemment intéressante ( c'est un coutumier! ) mais je n'avais communiqué la mienne que dans le sens où je pensais que celà était lié à la recherche de Romque. Les chaussettes de ses esquisses ne me suggèrent pas trop la tenue des maoris révoltés. Le soldat du 40ème en 1863 est tout à fait dans la mode du temps. Mais il s'agit d'un régiment de la ligne ( où on ne peut pas s'amuser à tolérer que chacun vienne au rassemblement en pagne sous prétexte qu'il fait un peu trop chaud....). Ce sont surtout les '' constables'', chefs de groupes, de sections ou de compagnies de police armée ( milice) , composés pour bonnes moitiés de maoris alliés ou ralliés, qui ont opté pour la tenue du shawl, comme leurs hommes, et ceci au moins un an après le début de la répression de la révolte.

Il y a donc beaucoup de plaisir de sculpture et peinture dans le coin.

merci pour les précisions Philippe

je rajoute ce lien :

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

mais vous connaissais peut être

Une figurine trouvée sur le net. Avantages, elle est en couleur et c'est la box art de figurine ''Gary Hunt''. C'est une marque néo zélandaise. le personnage est une reprise directe de la photo de Frederick Swindley ( voir plus avant). Elle donne une bonne idée du genre de carroyage des shawls des constables.
Malgré le peu d'illustrations sur le sujet, il ressort quand même que les shawls pouvaient être unis, à tartans, ou encore à carreaux style madras. En tout cas, ce devait être des apports personnels de la garde robe de chacun car il n'y a aucune uniformité à l'intérieur d'une unité.

Oups, j'ai oublié de mettre la photo. La voilà:

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image][img][/img]

Ne pouvant décidément pas résister au chant de l'histoire, voilà un petit couplet , pour le plaisir des mots maoris ( vraiment très étrangers) et parce que la Nouvelle Zélande, c'est vraiment les antipodes et peu nombreux sont ceux qui savent même le nom de sa capitale.
Alor, voilà:
Des milliers de maoris sont morts lors des guerres intertribales des ‘’mousquets’’ des années de 1810 à 1840 . Bien davantage furent menés en esclavage ou devinrent des réfugiés. Les meneurs rivaux , dans le nord , étaient Ngāpuhi et Ngāti Whātua, mais toutes les tribus furent bientôt impliquées dans le commerce des mousquets.
Les mousquets (ngutu parera ) changèrent la face des guerres intertribales, décimèrent quelques tribus et altèrent de façon drastique les frontières territoriales ( rohe) d’autres. Avec les maladies européennes , qui prenaient un lourd tribut de vies humaines, la guerre laissa la place à une rivalité économique.
A cette époque, des milliers de maoris avaient fuit les terres traditionnelles, laissant libre de grandes surfaces aux colons européens (Pākehā ) et compliquant les questions de propriétés.
En 1859, le Te Ātiawa (petit chef) Te Teira Manuka offrit de vendre à la couronne britannique du terrain à Waitara, dans le nord Taranaki. Le gouvernement accepta l’offre et les colons européens étendirent leur petite enclave autour de New Plymouth. Cependant, Wiremu Kīngi, un chef plus important, dénia que Teira fût autorisé à vendre ce terrain, et la guerre éclata en mars 1860. Le Taranaki connut une série de conflits pendant les 21 ans à venir.
Au printemps 1865, une force combinée de Ngāti Porou (nom de tribu)et de troupes de colons défit une force de Pai Mārire ( nom d’une autre tribu) près de Tūranga (Gisborne). Un membre de cette force était Te Kooti Arikirangi Te Tūruki, qu’on retrouvera plus tard.
Te Kooti fut accusé sans preuve d’espionnage, et à nouveau en 1866. Il fut exilé sans jugement à to Chatham Island (Wharekauri). Là il connut un ‘’réveil spirituel’’ en 1867, il organisa son évasion en 1868, et retrourna à Poverty Bay avec 300 prisonniers qu’il appela les Whakarau, ou ‘’sans domiciles’’.
Pendant quatre ans, il mena une guerre complètement différente de ce qu’avait connu la Nouvelle Zélande.
C’est dans ces guerres que les maoris révélèrent leur adaptation à la guerre moderne en protégeant leurs champs de bataille de palissades aux planches disjointes qui les protégeaient des tirs ennemis tout en leur permettant d’utiliser leurs armes. Derrière ces palissades on découvrait un réseau de tranchées au ras du sol pour diminuer l’effet de l’artillerie, et devancées par des amas de broussailles emmêlées.
Les maoris et les troupes coloniales le pourchassèrent à travers toute l’île nord et le Te Urewera, jusqu’à ce que le roi maori Tāwhiao lui accorde un sanctuaire en 1872.
Te Kooti fut officiellement amnistié en 1883, mais ne fut jamais autorisé à retourner à Poverty Bay. Il fut un des leaders maoris les plus significatifs du 19ème siècle, et son influence continue à être ressentie dans la Baie de Plenty et sur la côte orientale, où sa foi Ringatu reste très forte.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image][img][/img]

De nombreux mouvements maoris adoptèrent des drapeaux distinctifs. Celui-ci est le drapeau de guerre de Te Kooti. Les lettres représenteraient le Saint Esprit, Wairua Tapu, le croissant de lune l’espoir portant ( tohu ) vers un nouveau monde, et la croix rouge le combat de l’archange Gabriel qui était apparu en vision à Te Kooti dans les années 50. La lune et la croix reprennent les premiers éléments du Te Wepu, un drapeau que Te Kooti avait capturé à Ngāti Kahungunu en 1868.

merci pour ces informations Philippe !
très beau résumé des faits

reynald !! tu n as plus cas

T'as qu'à, t'as qu'à, t'as qu'à ! amuse toi bien sur la sculpture, parce que la peinture sera sûrement du gâteau, malgré le tartan.

merci les gars j'en attendait pas moins de vous et comme vous dites yapuka

au fait j'ai changé le titre et mis un compte rond pour la date :)

Romque a écrit:

au fait j'ai changé le titre et mis un compte rond pour la date :)

poil a la patte ok

Rhooo! trop fort! et tu as 47 ans? poil aux dents, je vois que tu restes jeune ......

1820, c'et un peu court. 1870, c'est un peu long. un court un long on appelle çà ''Un coup encadrant''. Oui je sais , faut comprendre.....

y a quékin à l'aut' bout? je savais bien que le temps de chercher sur google où se trouve cette salop....e de new zealand, on aurait passé les 24 heures..... hé hé, c'est de l'autre côté, pire qu'en Chine. Ils ont des chaussures avec des aimants pour tenir, c'est pas croyabbbe! alors des jupes au lieu de pantalons, et surtout pour les policiers, çà me parait bizarre. la tête en bas, la jupette aurait dû leur repasser par dessus la tête. et on saurait si les écossais ne portent rien sous le kilt. Bon, je vais me reposer un brin, çà devient urgent. :drunken: :toc toc: oh la vache, elle était forte, la Badoit aujourd'hui......

ça avance tout doucement mais j'espère surement
Bien entendu rien n'est fini

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

pas mal du tout cette avancé

c'est même super bien:applo:

Excellent projet qui démarre très bien!
Vivement la suite!

Pas évident et ca avance bien cette affaire ! Je trouve que tes réalisations deviennent de mieux en mieux ! Bravo à toi et comme toujours, vivement la suite !

Pour le kilt, j'ai découvert, mais je n'arrive plus à retrouver où, que la ''jupette'' en tartan n'était souvent pas plissée comme le kilt écossais ( sauf pour ceux dont la famille était écossaise) mais simplement drapée, de façon ample autour de la taille à la façon des jupes modernes des femmes d'aujourd'hui ( quand elles veulent bien porter des jupes......). La liberté de la foulée des jambes était assurée par le simple fait du pli du rabat du vêtement.
çà aide fich'trement à la sculpture, çà, non?

:merci:
visage presque fini je vais pouvoir commencer les bras ou les détails

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Je suis toujours bluffé par le travail de création  

C est tout bon reynald

laurent a écrit:

C est tout bon reynald

+1

reprise et réalisation des cordons
voila à dans 2 semaines pour moi c'est vacances :)

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Très beau boulot
 bonne vacances Reynald

Belle avancée Reynald

Superbe et surtout bonne vacances !!!!

Ca le fait  

c'est splendide !!!
Marc

c est de mieux en mieux Reynald 

Ben dis donc,çà avance drôlement bien! pas facile les noeuds des brandebourgs!