Vitrine de MarcM, Murat en amiral napolitain

Certe, une pièce ancienne......mais bien traitée .....

Oui, toujours original.

Une version du voltigeur de MM qui vous donnera peut-être des idées:
je l'ai transformé en artilleur de marine 1813, corps dont les quatre régiments qui combattaient comme fantassins se sont illustrés à Lützen et à Hanau.



Amicalement
Marc

encore une chouette réalisation à ton actif

Encore une belle piece à ton actif !

J'aime bien la cohérence de ta vitrine !
Bravo !

Plus classique, le sergent de grenadiers du 3e regiment (hollandais).



Amicalement
Marc

Classique c'est vrai mais très beau y compris la boucle d'oreille

Et voici un "moine de Chamborant".



Amicalement
Marc

wouhaou, il me plait, belle réalisation  

Si je ne me trompe pas, moine à cause de leur couleur ?

tout comme Charles....et oui, moine de Chamborant  ?????

Le défi du brun est d'en faire un tissu et non un cuir et ici, l'aspect tissu est bien réalisé.

Merci les amis.
Effectivement le surnom de "moines "leur venait de leurs dolmans et pelisses (également habits et redingotes) bruns.
En voici une autre sur une figurine ancienne "Poste militaire":

Amicalement
Marc

Un nouvel espagnol.
Il s'agit cette fois d'un canonnier de l'artillerie à pied. Beaucoup de points communs avec son homologue français mais cependant des différences (chapeau, collet, gilet, poches)


Il rejoindra un officier du même corps déjà fait il y a quelques années:

Enfin une représentation de Cueto:

Amicalement
Marc

chouette réalisation, bravo Marc  

Merci Charles

C'est toujours sympa d'avoir au moins quelqu'un qui se manifeste et évite de laisser l'impression que tout le monde s'en moque....
Amicalement
Marc

c'est bien !
c'est vrai qu'ils ont un uniforme proche de nos français...

Non, non, personne s'en moque…
Je trouve plein d'originalité et de rareté dans tes choix. Merci de nous en faire profiter.

De tout cœur avec mes copains Charles et Alain L.  , même si un peu silencieux ces derniers temps.
Amicalement.

Bonjour Marc,

De retour après un temps d'absence, j’apprécie toujours ta production souvent originale et abondante.

c'est intéressant de découvrir ces uniformes espagnoles.Un sujet peu présent sur nos forums.

Salut Marc,
 je l'avais loupé celui là .Très original avec ses doubles poches sur les basques.

Voici les produits de ces dernières semaines...
Un officier du 4e regt de chevau-légers lanciers.





Un voltigeur 1813-1815



Amicalement
Marc

Bonjour, Marc

Un plaisir de voir ta production !

A+ Serge

un été studieux

j’apprécie particulièrement la première réalisation.

Beau boulot Marc

Je suis comme Charles, une préférence pour ce Chevaux-Légers lanciers.....

Belles pièces.
Même préférence que mes petits camarades.

Bonjour Marc,

Belles figurines! J'aime beaucoup les couleurs.

Bonjour à tous
 
Voici mon dernier Espagnol. Il s’agit du porte-drapeau d’un régiment de nouvelle levée (c'est-à-dire après 1808), composé de volontaires.
Ce drapeau existe toujours et a été restauré.
On a trop souvent l’image d’une armée espagnole composée de guérillas et on oublie souvent le rôle de l’armée régulière pourtant bien présente dans de nombreux combats et sièges.
Et lorsque l’on considère l’armée régulière, on pense aux régiments de l’armée des Bourbon en 1808 avec les uniformes blancs style ancien régime.
Un peu à l’instar de ce qui s’est passé en Prusse, l’armée espagnole s’est reconstituée ensuite à partir d’un mélange d’anciennes unités et de nouvelles levées. Les équipements étaient divers et disparates fournis pour partie par les Anglais et pour partie dérobés ou copiés sur l’armée française.
D’où cette silhouette très « française » de même que celle du soldat qui accompagne. Il s’agit de figurines éditées par le club de figurinistes de Saragosse, pour la première en 2009 et pour la seconde en 2004 (avec une facture pus primitive).
 








Voici le texte qui accompagne la figurine (démarche qui serait souhaitable pour toutes les autres), traduit de l’espagnol :
 
En juillet 1808, Palafox , capitaine général de l’armée et du royaume d’Aragon ordonna (juillet 1808) à Don Ramon Gayan de lever une unité de jeunes gens de la ville de Cariñena et des villages voisins dont les compagnies porteraient le nom de  « Escopeteros del campo de Cariñena » pour combattre les troupes assiégeant Saragosse.
A la fin du 2^e siège de la capitale (21 février 1808), ils se retirèrent dans la Sierra de Villaroya de los Pinares, recrutant au cours de leur retraite autant de jeunes gens qu’ils le purent parmi les partisans de Daroca et de Teruel, et en profitant pour faire de l’instruction et pour récolter des armes (400 carabines portugaises et 200 fusils français) ainsi que des vêtements et du matériel nécessaire à la vie en campagne.
Pendant un certain temps, ils combattirent contre de petites unités, d’une taille équivalente à la leur, manœuvrant toujours habilement grâce à leur connaissance du terrain et à leur capacité d’anticipation, qu’ils soient eux même poursuivis ou engagés dans un mouvement offensif.
Leur point de ralliement était le sanctuaire de Nuestra Señora del Aguila où ils passèrent leur première revue d’inspection (1^er mai 1809).
 
Les choses ne se passèrent pas si bien lors de la bataille de Maria de Huerva (15 et 16 mai) où ils se replièrent vers leur sanctuaire par Belchite, réunissant d’autres unités dispersées et parvenant à s’y maintenir en dépit des forces supérieures en nombre envoyées contre eux eu cours des mois de juillet et août.
Ils continuèrent dans la division du brigadier général don Pedro Villacampa en combattant à El Frasno et Orihuela del Tremedal (Teruel).
Après la revue d’inspection de février 1810 qui l’organisa en régiment d’infanterie de ligne à trois bataillons, cette unité, seule ou jointe à d’autres, combattit dans le sud de l’Aragon et les régions limitrophes, défendant plus tard (division Obispo) la région de Valence comme à Ségorbe (30 septembre 1811) et contribuant au soutien de la ville de Valence assiégée, mais parvint à échapper à la captivité lors de la chute de la capitale du Levant (5 janvier 1812).
On le vit réapparaître les régiment lors des actions de la Almunia (19 février 1812), Villafeliche (14 mars), Calatayud (3 avril), Aranda (8 juillet), de nouveau Calatayud (27 septembre), la Almunia, Borja (17 octobre), Herrera (18 novembre), Encinacorbo (24 novembre), Cariñena (17 décembre), la Almunia ( 25 décembre), Borja ( 13 avril 1813), à la reddition de Caspe (5juin) et à un moment très particulier, l’entrée dans Saragosse le mois suivant au sein de la division Duràn puis Mina.
Tout le long de son existence, il reçut les renforts d’hommes et de matériels d’autres unités, entre autres du 1^er volontaires d’Aragon et du Régiment de Rioja.
Il fut dissous après la guerre et reversé dans le régiment de Naples (2 mars 1815). Son drapeau est conservé dans la mairie de l’actuelle Cariñena (Saragosse).


Amicalement
Marc

Bonjour Marc,

Belles figurines encore et intéressantes!  Le visage du porte drapeau, bien "typé", une réussite.

j'adore, bravo  le porte drapeau est vraiment excellent, avec une carnation bien typée effectivement (dommage que le soldat n'est pas le même style de carnation  )
Le drapeau est très bien réalisé

deux très belles pièces, avec une préférence pour le porte drapeau.

Bravo Marc   

Merci de continuer à nous faire découvrir les troupes espagnoles.
Une préférence pour le porte drapeau. 

Que de figurines à découvrir, dans cette vitrine enrichie régulièrement de nouvelles pièces originales joliment peintes et toujours accompagnées d'explications fort intéressantes.
Bravo
à+
Michel

Bonsoir

Le "petit"dernier  avec toujours l'exercice du cheval noir....



Amicalement
Marc

Bonjour Marc .Très beau Cavalier et belle monture .

Très bel ouvrage Marc, bravo  beaucoup de classe

Bonjour Marc,

Toujours de belles couleurs, mais cette fois je trouve le traitement des galons argent un peu trop métallique.

Merci Bernard pour cette remarque. Il est en effet difficile de trouver le juste milieu.
Autre difficulté avec cette figurine que je signale pour ceux qui voudraient s'y lancer: le cordon qui retient le bonnet d'ourson. MM fournit un fil de cuivre qui est assez rigide et qui se plie difficilement. Résultat, un cordon un peu en zigzag assez peu plaisant. J'ai donc refait le cordon en milliput.
Amicalement
Marc

Bonjour Marc,

Pour assouplir le cuivre c'est très simple, il suffit de le recuire en le chauffant au rouge et en le refroidissant rapidement, répéter l'opération si nécessaire.
Pratiquement, pour la taille des pièces qui nous occupent,  chauffer à la flamme d'un briquet et souffler dessus sont suffisants.

Ah ah ! le vieux truc du cuivre recuit! .....

Très réussi. J'aime bien le rendu de la robe du cheval.

oui, la robe noire avec ses nuances de marron est très bien rendue

Bonjour, belle réalisation en effet, félicitations.
Je suis en train d'essayer de faire de même.
Petite question sur le harnachement du cheval : entre la sous-barbe (muserole) et la gourmette, il semble y avoir une sorte d'alliance en une ou deux parties. Les illustrations ne sont pas très claires et je n'ai nulle part trouvé d'explications. Cuir ou métal ? Quelqu'un sait-il ?
( difficile de faire des photos éloquantes)
Merci d'avance et bonne fête à tous les bienvenus .

Bonjour Eric

Il s'agit de la fixation de la martingale fixe (destinée à empêcher le cheval de lever trop la tête).
Elle s'attache à la sangle et passe sous le collier.
En rouge sur la photo:



Amicalement
Marc

Grand merci pour cette réponse précise et rapide.
Cordialement
Eric

Après l'officier, le trompette...
Amicalement
Marc

Bonsoir. Beau travail et belle collection MM.

Bonjour Marc,

Et ensuite les Carabiniers portant la cuirasse...

Bravo Marc, il est très beau ce trompette

Pour finir l'année, un Espagnol:
Le porte étendard du régiment de cavalerie España...
Amicalement
Marc